Toi, tu joues, je n’ai d’yeux que pour toi eux , ils dansent, tu souris, et moi je t’aime
Toi, tu joues, tu transpires, je n’ai d’yeux que pour toi, l'orchestre se balance, eux ils dansent, leurs ombres nous séparent, tu souris, je te perds, et moi je t’aime
Toi, tu joues, tu nous regardes tous, tu transpires, eux ils suent, je n’ai d’yeux que pour toi et pourtant ils sont là, l'orchestre se balance, en musique et en transe, eux ils dansent, tu épuises la musique leurs ombres nous séparent, leur nombre nous éloigne, tu souris, eux ils crient, je te perds, ils m'agacent, et moi je t’aime
Toi, tu joues, et les notes m'enivrent tu nous regardes tous, saoulés de ta musique, tu transpires, je te boirais bouillant eux ils suent, et gênent mon envie je n’ai d’yeux que pour toi, jaloux, et pourtant ils sont là, au même titre que moi, l'orchestre se balance, je me saoule, en musique et en transe, je bois, je rebois, eux ils dansent, je m'balance malgré moi tu épuises la musique je te vois, je te bois leurs ombres nous séparent je te perds et je bois leur nombre nous éloigne j'idéalise, “Amour!”, tu souris, à qui ?
Eux ils crient, et je crie, je te perds, j'perds au change ils m'agacent, toi tu joues et moi je t’aime
Cet amour-là, je veux bien y penser, mais je n’peux pas y croire.