C’est sur les larges pentes de la Grande Jorasse, que déboulent épatantes, en volée de rapaces, les filles ahurissantes, assez grandes bécasses, boudins de nylon et saucissons savants.
Trompant notre plaisir, en redondantes prétentions, elles attisent le désir en préservant leur droit du con.
Et de bleu, et de rose, et de jaune, et de vert, de toutes les couleurs ces boudins sont couverts.
Elles vous sourient lascives, se plaignent de leurs chaussures, la montagne agressive qui attise leurs blessures.
C’est surtout de leur cul qu’elles parlent à mots couverts ;
il fait si froid, l’hiver !